Le Secrétaire général de l’ONU, António Guterres (photo: THX/TTXVN)
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«La mauvaise gouvernance, la pauvreté croissante, la perte de biodiversité, l'effondrement des écosystèmes et l'urbanisation rapide non planifiée sont autant de facteurs interdépendants de risques de catastrophe», a-t-il ajouté, insistant sur le fait que si l'on n'y remédie pas, l'intensité et la fréquence des catastrophes s’aggraveront et le besoin d'aide humanitaire augmentera.
Ces risques font aussi «obstacle à notre effort mondial pour vaincre la pandémie de Covid-19, nous adapter au changement climatique et mieux construire l'avenir», a-t-il déclaré.
Une réduction efficace des risques repose donc sur la coopération internationale et la solidarité mondiale, a-t-il indiqué.