Sylvie Briand, directrice du département de préparation mondiale aux risques infectieux de l’OMS | Photo: AVI
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Les experts tentent de déterminer ce qui a provoqué cette situation inhabituelle, et les résultats préliminaires ne montrent pas de variation ou de mutation du virus de la variole du singe, a indiqué Sylvie Briand, directrice du département de préparation mondiale aux risques infectieux de l’OMS, lors d’une présentation sur la propagation inhabituelle du virus, lors de l’Assemblée mondiale de la santé à Genève (Suisse).
«Nous avons une fenêtre de tir pour arrêter la transmission maintenant», a-t-elle estimé. «Si nous mettons en place les mesures adéquates maintenant, nous pourrons probablement contenir cela rapidement». Le Royaume-Uni a signalé un premier cas le 7 mai. Depuis, quelque 200 cas ont été détectés dans des pays bien éloignés de ceux où le virus est endémique.