«Nous sommes proches d’un possible accord, mais nous n’y sommes pas encore», a déclaré mercredi le porte-parole de la diplomatie américaine Ned Price, appelant à «résoudre urgemment» les dernières divergences. «Nous pensons que les questions en suspens peuvent être surmontées», a-t-il assuré.
Début mars, on évoquait déjà l’imminence d’un accord. Mais vendredi, les pourparlers de Vienne, qui visent à sauver le pacte de 2015 destiné à empêcher Téhéran de se doter de la bombe atomique, ont été abruptement suspendus et le négociateur iranien Ali Baghéri est reparti bredouille.
«Nous avions quatre sujets parmi nos lignes rouges», a dit le ministre iranien des Affaires étrangères Hossein Amir-Abdollahian cité par l'agence de presse étatique Irna. «Deux sujets ont été presque réglés» et «deux autres demeurent», a-t-il ajouté.