Elle affirme toutefois que les détails des documents évoqués par M. Netanyahu doivent être évalués, en particulier par l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), en charge du suivi des engagements.
L’AIEA a réitéré, mardi, n'avoir «aucune indication crédible d'activités en Iran liées au développement d'un engin nucléaire après 2009», au lendemain des accusations israéliennes. Dans un communiqué, un porte-parole de l'AIEA a déclaré que le conseil des gouverneurs avait «déclaré avoir achevé son examen de cette question» après le rapport qui lui avait été présenté en décembre 2015.