La Première ministre néo-zélandaise, Jacinda Ardern, le 19 mars 2019 - Photo AFP |
Elle a promis de ne jamais prononcer le nom du terroriste et a répété
qu'une enquête sera ouverte afin de déterminer comment l'Australien avait pu
planifier et mener ses attaques en Nouvelle-Zélande au nez et à la barbe des
services de sécurité.
Jacinda Ardern a annoncé un durcissement de la législation sur les armes
qui a permis au tueur d'acheter l'arsenal ayant servi à l'attaque. Les
Néo-Zélandais ont déjà commencé à répondre aux appels du gouvernement leur
demandant de rendre leurs armes.