Alors que Téhéran et la communauté internationale cherchent à sauver l’accord nucléaire iranien conclu en 2015 à Vienne, le porte-parole du gouvernement iranien Ali Rabii a prévenu que l’adoption d’une telle résolution risquait de rendre vains ces efforts. Mais il a réaffirmé l’attachement de l’exécutif iranien à une solution concertée.
L’Allemagne, la France et la Grande-Bretagne, les trois parties prenantes européennes à l’accord de Vienne publieront bientôt un texte appelant l’Iran à reprendre l’ensemble du programme d’inspections prévu par cet accord.