Un soldat français participe à une opération de patrouille autour de la base militaire près d'Ouallam, au Niger, le 15 juillet 2022. Photo: AFP/AVI |
«Nous ne reconnaissons aucune légitimité aux déclarations des putschistes», a-t-il affirmé, demandant «la libération du président Bazoum et la restauration de l'ordre constitutionnel».
Après le renversement du chef de l'État nigérien, la Communauté économique des États d'Afrique de l'Ouest (Cedeao) a brandi la menace d'une intervention militaire dans le pays, visant notamment à restaurer M. Bazoum dans ses fonctions. Une décision soutenue par la France, qui compte environ 1.500 soldats dans ce pays sahélien, dans le cadre de la lutte antijihadiste.