Selon lui, si l’économie nord-coréenne se montre ouverte, des pays voisins et des institutions internationales y participeront. « Il ne faut donc pas perdre notre leadership. Nous sommes maîtres de notre destin sur la péninsule coréenne », a-t-il déclaré devant ses conseillers.
Le comité des sanctions contre la République populaire démocratique de Corée a donné accord pour les projets humanitaires de trois institutions dont l’Organisation de la Santé, Concern Worldwide (Irlande) et Welthungerhilfe (Allemagne).