Le ministre japonais des Affaires étrangères Motegi. Photo: Mainichi |
Cette décision, qui s’appuie sur la Convention des Nations unies sur le droit de la mer (UNCLOS) de 1982, doit être respectée par les parties prenantes au contentieux, a déclaré le chef de la diplomatie japonaise Toshimitsu Motegi qui a affirmé que le rejet par la Chine de la décision de la CPA va à l’encontre du droit international et de l’UNCLOS et viole le principe d’universalité du droit comme valeur fondamentale de la communauté internationale.
Le Japon a exprimé son inquiétude face à la situation en mer Orientale. Tokyo continuera de coopérer avec l’Association des nations de l'Asie du Sud-Est (ASEAN) pour maintenir un ordre international basé sur le droit et promouvoir une région Indo – Pacifique libre et ouverte.