La scène de la fusillade à Bruxelles, en Belgique, sécurisée par la police. Photo: AP |
Le Premier ministre suédois, Ulf Kristersson, a estimé que l’espace Schengen, qui permet la libre circulation des personnes entre 26 pays européens, était menacé si les frontières extérieures de l’Union européenne n’étaient pas mieux protégées contre l’immigration clandestine.
Le Premier ministre belge, Alexander De Croo, a abondé dans le même sens, en affirmant que l’Union européenne avait besoin d’un système plus efficace pour rapatrier les immigrants illégaux. Il a également souligné que ce problème devait être résolu au niveau européen et qu’il nécessitait une coordination.
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a quant à elle affirmé que le nouveau pacte sur l’immigration et l’asile de l’Union européenne contribuerait à prévenir des incidents similaires à l’avenir. Ce pacte prévoit notamment de faciliter l’expulsion des étrangers considérés comme une menace pour la sécurité.