Le chef de l'OTAN, Jens Stoltenberg. Photo: AVI

Selon lui, l'Ukraine rejoindra l'OTAN, et la question n'est pas "si", mais "quand". Il a affirmé que pendant que l'OTAN préparait ce jour futur, elle continuerait à se tenir aux côtés de l'Ukraine pour assurer la sécurité tant de l'Ukraine que de l'OTAN. Stoltenberg a également rappelé les récentes promesses d'aide militaire des pays de l'OTAN, "d'une valeur de plusieurs milliards de dollars".

Ce samedi également, lors d'un sommet virtuel, le G7 a promis de "faire monter le coût du conflit" en Ukraine pour Moscou. À l'issue de cette réunion, où Volodymyr Zelensky a exhorté ses alliés à fournir leur aide militaire "à temps" à son pays, affaibli à l'aube d'une troisième année de conflit, les dirigeants du G7 ont déclaré dans un communiqué: "Nous continuerons à augmenter le coût de la guerre russe, à réduire ses sources de revenus et à entraver ses efforts pour construire sa machine de guerre, comme le démontrent les paquets de sanctions que nous avons récemment adoptés."

Toujours ce samedi, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a signé à Kiev un accord bilatéral de sécurité avec la Première ministre italienne Giorgia Meloni, ainsi qu'un accord similaire avec le Premier ministre canadien Justin Trudeau. Auparavant, l'Ukraine avait également conclu des accords de sécurité avec la Grande-Bretagne, l'Allemagne, la France et le Danemark.