“L'ordre s'applique à tout le personnel de l'ONU et à tous ceux qui sont abrités dans des établissements de l'ONU - y compris les écoles, les centres de santé et les cliniques”, a indiqué Stéphane Dujarric, qui a également souligné qu’un tel déplacement de population ne pouvait pas avoir lieu sans des conséquences humanitaires dévastatrices. Dans ces circonstances, "les Nations unies appellent fortement à ce que cet ordre soit annulé pour empêcher de transformer ce qui est déjà une tragédie en une situation calamiteuse", a-t-il insisté.