Le secrétaire général des Nations-Unies Antonio Guterres (photo THX/TTXVN)
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«Compte tenu de la vitesse à laquelle les agents pathogènes se propagent dans un monde interconnecté, nous devons veiller à ce que tous les pays disposent de capacités résilientes et appropriées pour répondre rapidement et avec robustesse à tout événement biologique mondial potentiel et délibéré», a-t-il dit.
À noter que la Convention sur les armes biologiques compte actuellement compte 183 États parties.