Auparavant, Téhéran avait peu de temps protesté contre la saisie par la Grèce d’un navire transportant du pétrole iranien.
Le ministère grec des Affaires étrangères a dénoncé «des actes assimilables à de la piraterie» et appelé les citoyens grecs à éviter de se rendre en Iran.
Athènes a affirmé que des hélicoptères de la marine iranienne avaient hélitreuillé des hommes armés à bord des deux pétroliers. L’un d’eux, le Delta Poseidon, naviguait alors dans les eaux internationales au moment de l’intervention. Le second, qui n’a pas été nommé, se trouvait lui près des côtes iraniennes.
Athènes a indiqué que neuf Grecs faisaient partie des équipages des deux navires, mais a refusé de donner le nombre total des marins à bord. L’Union européenne et l’Organisation maritime internationale ont été alertées de l’incident, a-t-il ajouté.