"Présenter une évaluation de la manière dont les engagements (liés à l'accord de 2015) sont mis en oeuvre excède totalement le mandat de l'Agence et devrait être évité", a commenté sur Twitter l'ambassadeur d'Iran auprès de l'AIEA, Kazem Gharibabadi.
Joe Biden, qui prendra ses fonctions le 20 janvier, a indiqué qu'il souhaitait revenir sur la politique de "pression maximale" à l'égard de l'Iran mise en oeuvre par Donald Trump et réamorcer une approche diplomatique. Téhéran s'est de son côté dit convaincu que les États-Unis réintégreraient l'accord international sur le programme nucléaire de la République islamique conclu en 2015 et que les sanctions seront levées après l'investiture de Joe Biden.