L'AIEA, qui est chargée de surveiller l'application du Plan d'action global commun indique que la République islamique a constitué un stock de 241,6 kilos d'uranium enrichi, au-dessus de la limite de 202,8 kilos fixée à Vienne, et que son taux d'enrichissement est de 4,5%, alors qu'elle avait accepté avec les grandes puissances un seuil de 3,67%.
Son taux d'enrichissement reste néanmoins loin du taux de 20% d’avant 2015 et du taux de 90% considéré comme nécessaire pour obtenir de l'uranium de qualité militaire.