« Il peut être
prêt dans le plus court laps de temps possible et vole à très basse
altitude », a précisé samedi 2 février le ministre de la défense
iranien, Amir Hatami. Ce nouveau test risque de provoquer des critiques,
principalement des Etats-Unis qui plaident pour une interdiction des tirs de
missiles et de fusées spatiales par l’Iran.
Le ministre a qualifié le missile
Hoveizeh de « réussite défensive » et de « bras de la République
islamique d’Iran ». Ce missile sol-sol fait partie, selon lui, de la série
de missiles de croisière Soumar dont les premiers modèles, d’une portée de
700 km, avaient été dévoilés en 2015.