Ce traité, le premier juridiquement contraignant à l’échelle internationale, est le fruit de deux ans de tractations entre plus de 50 pays, dont le Canada, Israël, le Japon et l’Australie.
L’administration Joe Biden a réaffirmé l’engagement des États-Unis envers un développement éthique de l’intelligence artificielle, respectueux des droits humains. Le ministre britannique de la Technologie, Peter Kyle, a souligné l’importance de ce traité, le qualifiant de premier à avoir une véritable influence mondiale, unissant des pays aux cultures et systèmes politiques divers.