En plus d’interdire tous les nouveaux investissements en Russie, une mesure connue depuis mardi, l’exécutif américain va imposer les contraintes les plus sévères qu’il puisse appliquer à l’incontournable banque publique Sberbank, qui selon Washington contrôle un tiers des actifs bancaires de Russie, et à la plus grande banque privée du pays, Alfa Bank.
Les États-Unis vont également sanctionner «de grandes entreprises publiques stratégiques», mais n’ont pas immédiatement dévoilé la liste des sociétés concernées.
Le même jour, le Royaume-Uni a de son côté durci ses sanctions imposées à Moscou, interdisant tout investissement britannique en Russie et ciblant les secteurs bancaire et énergétique.