Objectif pour Bruxelles : conforter les perspectives européennes de ces pays et leur donner des signaux sur les réformes à mener.
La France s’était opposée à l’automne dernier à l’ouverture de négociations d’adhésion avec l’Albanie et la Macédoine du Nord, mais cette position semble évoluer vers plus de flexibilité. Bruxelles doit soumettre une nouvelle procédure d’adhésion à l’approbation des États membres en vue du sommet prévu à Zagreb en mai prochain. Elle vise l’ouverture de négociations avec la Macédoine du Nord et l’Albanie. Des négociations qui ont en revanche déjà commencé avec le Monténégro et la Serbie.