Ce voyage de cinq jours intervient quelques jours après que le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un a indiqué que son pays devait être prêt à la fois au dialogue et surtout à la confrontation avec les États-Unis tout en appelant à des efforts pour un contrôle stable de la situation sur la péninsule coréenne dans son premier message en direction de l'administration Joe Biden.
Il s'agit de la première visite à Séoul de Sung Kim depuis sa nomination en tant qu'envoyé nucléaire en chef des États-Unis le mois dernier, un signe de volonté de Washington de reprendre le dialogue avec le Nord.
Ce lundi 21 juin, Kim Kim aura une rencontre bilatérale avec Noh Kyu-duk, le représentant spécial sud-coréen pour la paix et la sécurité sur la péninsule coréenne à laquelle se joindra Takehiro Funakoshi, le directeur général japonais pour les affaires de l'Asie et de l'Océanie, selon le ministère des Affaires étrangères.