L'absence de progrès sur les réformes telles que le financement de l'Organisation mondiale de la santé et les réglementations sanitaires internationales signifie que le monde est plus vulnérable que jamais, a déclaré dans son rapport le Groupe indépendant de préparation et de réponse aux pandémies.
Les auteurs du rapport, dirigés par l'ancienne Première ministre néo-zélandaise, Helen Clark, et l'ancienne présidente du Liberia, Ellen Johnson Sirleaf, ont reconnu certains progrès, mais ont déclaré que le processus allait beaucoup trop lentement.
"Nous avons actuellement les mêmes outils et le même système qui existaient en décembre 2019 pour répondre à une menace de pandémie. Et ces outils n'étaient tout simplement pas assez bons", a déclaré Helen Clark aux journalistes.