Un policier de la Minusma en patrouille à Tombouctou, en décembre 2021. Photo: FLORENT VERGNES/AFP |
Cette décision s’applique jusqu’à l’organisation d’une réunion par la partie malienne, dont la date n’a pas été communiquée, pour faciliter la coordination et la réglementation de la rotation de ces contingents, ajoute le communiqué. Les autorités maliennes justifient leur décision en invoquant le contexte de sécurité nationale.
Cette mesure intervient quatre jours après l’interpellation de 49 militaires ivoiriens, des «mercenaires» selon Bamako, qui les accuse d’avoir comme «dessein funeste» de «briser la dynamique de refondation» de l’État malien.