Dans un communiqué, ledit ministère a souligné que ces sanctions interdisaient également aux entités japonaises d'exporter vers la Russie une large gamme de biens industriels tels que des machines de construction, des moteurs de navires, des équipements de test et des équipements optiques.
Le 28 février, le Japon avait également décidé d'ajouter 143 individus et organisations ayant des liens avec la Russie à la liste des sanctions, ciblant les politiciens, les responsables militaires, les hommes d'affaires et les entreprises en Russie.