«Les banques européennes ne sont pas dans la situation de certaines banques américaines pour une raison très simple qui est qu’elles ne sont pas soumises aux mêmes règles», a-t-il ajouté sur BFM Business, en référence aux faillites récentes de banques régionales aux États-Unis qui ont fait tanguer les marchés.
Le gouverneur a mis en avant la réglementation Bâle III mise en place après la crise financière de 2008, «parfois critiquée» mais qui a prouvé l'«efficacité» des règles «sur leurs liquidités et sur leurs fonds propres».
Selon lui, 400 groupes bancaires européens sont soumis à cette réglementation contre 13 aux États-Unis, les plus grands établissements.