Le chef suprême du Hezbollah au Liban, Hassan Nasrallah. Photo: AFP/TTXVN
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De nombreux groupes armés de la région ont exprimé leur solidarité avec le Hezbollah. En Iran, au Yémen et en Syrie, des manifestations de masse ont éclaté pour dénoncer cet assassinat.
Le guide suprême iranien, Ali Khamenei, a condamné Israël et affirmé que l’Iran et ses alliés continueraient de soutenir le Hezbollah. Un deuil national de cinq jours a été décrété en Iran en hommage à Hassan Nasrallah, vu comme «un symbole de la lutte contre l’oppression».
Le Premier ministre irakien, Mohammed Shia Al-Sudani, a qualifié Nasrallah de martyr et a décrété trois jours de deuil national. Il a condamné l'attaque israélienne, la qualifiant de «crime franchissant toutes les lignes rouges».
Le président turc, Recep Tayyip Erdogan, a également condamné Israël, parlant de «génocide» au Liban. Il a appelé le Conseil de sécurité de l'ONU à intervenir et exhorté le monde musulman à adopter une position ferme contre Israël.
Le Hamas et les forces houthies ont condamné l’attaque, qualifiant les frappes israéliennes d’actes de terrorisme et de génocide, tout en réaffirmant leur soutien au Hezbollah.
De son côté, le ministère français des Affaires étrangères a indiqué être en contact avec le gouvernement libanais et ses partenaires régionaux pour prévenir une escalade.