Le directeur général de l'AIEA, Rafael Grossi (gauche) et le chef de l'Agence iranienne de l'énergie atomique, Mohammad Eslami lors d'une conférence de presse en Iran, le 4 mars. Photo: Téhéran Times |
Il a fait cette déclaration lors d’une conférence de presse en marge de la réunion du Conseil des gouverneurs de l’AIEA à Vienne. Rafael Grossi a indiqué que l’Iran pourrait autoriser l’AIEA à mettre en œuvre de nouvelles activités de vérification et de surveillance appropriées, ce qui marquerait une amélioration majeure dans les relations entre les deux parties après de longues années de radicalité iranienne. Il a également annoncé la tenue prochaine de négociations avec Téhéran pour clarifier les contenus de coopération dans les temps à venir.
La visite de deux jours du directeur de l’AIEA en Iran a ouvert une nouvelle page pour la coopération entre les deux parties, a quant à lui affirmé le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Nasser Kanaani, ajoutant que l’Iran et l’AIEA étaient parvenus à des accords importants. L’Iran souhaite que l’AIEA prenne ses responsabilités et remplisse ses obligations de protection des droits d’utilisation des techniques nucléaires de ses pays membres.