La Russie s'engage volontairement à respecter la limite quantitative prévue par l'accord et affirme que la position de Moscou ne dépend pas du fait que les États-Unis, toujours membres dudit traité à l’heure actuelle, échangent ou non des données avec celle-ci, a souligné Sergei Ryabkov.
Les États-Unis avaient informé la Russie qu'ils cesseraient d'échanger un certain nombre de données sur leurs forces nucléaires stratégiques suite au refus de Moscou de faire de même, a déclaré mardi 28 mars la Maison Blanche, qualifiant cette action de réponse à la suspension de la participation de la Russie au traité New START.