Photo d'illustration
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Le temps pressait avant l'expiration du contrat actuel, le 31 décembre. En cas d'échec des pourparlers, les approvisionnements européens auraient pu être affectés même si les États européens concernés, échaudés par des conflits gaziers russo-ukrainiens dans les années 2000, ont déjà fait le plein de leurs réservoirs de gaz.