L'ambassade nord-coréenne à Madrid. Photo: Bernat Armangue/AP/SIPA
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La représentation diplomatique nord-coréenne avait été attaquée le
22 février par un commando, quelques jours avant le second sommet, à
Hanoï, entre le président américain Donald Trump et le dirigeant nord-coréen
Kim Jong-un.
Après des semaines de mutisme total, un juge d’instruction espagnol a
dévoilé mardi une foule de détails sur cet assaut et le commando l’ayant
perpétré, dont plusieurs membres font l’objet d’un mandat d’arrêt
international. Dans la foulée, le groupe Défense civile Cheollima (DCC) a
revendiqué ce raid expliquant vouloir mettre en lumière les activités
« illégales » des représentations diplomatiques de Pyongyang à
l’étranger.