L'Image diffusée par les médias sud-coréens à la télévision de Séoul du lancement d'un missile par la RPD de Corée, le 24 août 2023. Photo : AFP/AVI |
Pyongyang affirme avoir exercé ses droits souverains sans compromettre la sécurité des pays voisins. Son ambassadeur à l’ONU, Kim Song, a déclaré que ce lancement avait été un «exercice du droit d’autodéfense légitime» de son pays.
La réunion du Conseil de sécurité avait été convoquée à la demande des États-Unis, qui assurent sa présidence tournante en août, ainsi qu’à la demande de six autres pays, dont le Japon. Le lancement de satellite nord-coréen a eu lieu pendant la tenue des manœuvres conjointes américano-sud-coréennes intitulée Ulchi Freedom Guardian, du 21 au 31 août. La RPD de Corée a maintes fois qualifié cet exercice annuel de provocation militaire.