Le président syrien Bashar al-Assad. Photo: AFP/TTXVN
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"S'il y a un référendum et que
les gens soutiennent une nouvelle constitution, alors, bien sûr, nous
l'accepterons ... Ce sera une décision prise par les Syriens", a dit M.
Al-Assad.
Une réforme constitutionnelle n'a
rien à voir avec le président ou le gouvernement de la Syrie, et elle n'a rien
à voir avec les pays étrangers ou les organisations internationales, a affirmé
M. Al-Assad.
Le conflit armé syrien a éclaté en 2011 et s'est rapidement transformé en
une guerre généralisée, qui a fait presque un demi-million de morts à ce jour. Al-Assad a notamment fustigé les accusations
d'armes chimiques par l'Occident comme un "prétexte" pour une
intervention étrangère, disant que la Syrie ne possède pas d'armes chimiques
depuis 2013.