Jérusalem-Est est une partie inséparable du territoire palestinien occupé et est la capitale de l'État de Palestine. Israël, en tant que puissance occupante, n'a pas le droit d'opposer son veto à la décision de l'administration américaine, indique le ministère dans un communiqué.
Plus tôt cette année, le secrétaire d'État américain Anthony Blinken s’était engagé à rouvrir le consulat afin de réparer les dommages infligés aux Palestiniens estimant que l'administration Trump avait favorisé Israël concernant les conflits dans la région. Le Premier ministre israélien Naftali Bennett a déclaré à plusieurs reprises que le pays rejetterait une telle décision, déclarant qu'il n'y avait "pas de place" pour une autre mission américaine à Jérusalem.