Ils ont condamné les attaques contre des pétroliers qui représentent une menace sérieuse à la navigation maritime et l'approvisionnement énergétique. Alors que le Conseil de sécurité doit tenir mercredi une réunion régulière sur l'application de l'accord nucléaire international de 2015, les trois pays ont affirmé « leur engagement à sa mise en oeuvre intégrale ». Cet accord, « selon nous, contribue à réduire les tensions dans la région et à assurer la non-prolifération nucléaire mondiale », ajoute leur déclaration en demandant, sans nommer les États-Unis qui se sont retirés en 2018 de l'accord, d'« éviter toute action susceptible de saper ce pilier essentiel du régime de non-prolifération et de notre sécurité collective ».