Le vice-ministre des Affaires étrangères Dô Hùng Viêt (cravate bleue). Photo: VOV

Y prenant la parole, Dô Hùng Viêt a mis en avant la politique cohérente du Vietnam en matière de protection et de promotion des droits humains. L’État vietnamien place toujours la population au centre de ses actions, la considérant à la fois comme la finalité et le moteur du processus de Renouveau et de développement national. Depuis le 3e cycle de l’EPU en 2019, le Vietnam a continué à compléter ses législations et ses politiques relatives aux droits humains et a enregistré des progrès tangibles, que ce soit dans les domaines de la santé, de l’éducation, de la sécurité sociale, de la liberté de culte, de la liberté de presse, de l’accès à Internet ou de l’égalité des sexes. Les indices de développement humain (HDI) et d’égalité des genres (GEI) du Vietnam dans les classements établis par les agences onusiennes s’améliorent d’année en année. Après la pandémie, le gouvernement a adopté de nombreuses mesures visant à protéger la santé des habitants, à stimuler le développement socioéconomique, à promouvoir l’économie verte et l’économique numérique, ainsi qu’à honorer les engagements internationaux du Vietnam en matière de droits humains, a rappelé Dô Hùng Viêt.

Le débat sur le rapport national vietnamien a attiré la participation de plus de 130 pays, qui ont pris note des avancées du Vietnam dans la garantie des droits humains, la promotion des droits des femmes, des LGBT et des minorités ethniques.

Ils ont proposé au Vietnam environ 300 recommandations diverses abordant tous les aspects des droits humains.

Le 10 mai, le groupe de travail sur l’EPU du Conseil des droits de l’homme se réunira. Il présentera son rapport d’examen concernant le Vietnam au Conseil pour une approbation officielle lors de la 57e session du Conseil, prévue en septembre et octobre prochains.