Photo d'illustration (source: AP)
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Dans une communication interne publiée le 23 février, la Commission demande à ses employés et fonctionnaires de supprimer l'application de leurs appareils électroniques dans le but de protéger les données de l'institution et d'accroître sa cyber sécurité. Une interdiction qui vaut pour les téléphones professionnels, mais aussi pour les téléphones personnels lorsque des applications de travail en lien avec la Commission y sont installées, notamment la messagerie électronique et les applications pour visioconférences.
À compter du 15 mars prochain, tous les appareils électroniques qui conserveront l'application TikTok seront considérés comme "non-conformes" aux règles de l'institution. Une mesure que la Commission juge "nécessaire" en raison des "problèmes de protection de données liés à l'application", qu'elle considère comme "une menace potentielle à sa cyber sécurité".