C’est ce qu’a déclaré Kim Yong-chol, vice-président du comité central du Parti du Travail nord-coréen, cité le 27 octobre par l’agence de presse officielle KCNA. «Tout a une limite», a déclaré dans un communiqué Kim Yong Chol. «Les relations personnelles de proximité (entre les présidents Kim Jong-un et Donald Trump, NDLR) ne peuvent jamais remplacer l'intérêt du peuple et elles ne sont pas une garantie contre une aggravation des relations entre la RPDC et les États-Unis», a-t-il ajouté. Selon Kim Yong-chol, Washington est en train de faire pression sur Pyongyang au lieu de s’intéresser à la proposition nord-coréenne d’accepter une nouvelle approche dans les négociations.