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«Un certain nombre de ces caméras ont été endommagées lors d'opérations terroristes récentes, générant deux rapports extrêmement durs et destructeurs» de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), a indiqué Mohammad Eslami, directeur de l'Organisation iranienne de l'énergie atomique (OIEA), cité par l'agence de presse étatique IRNA.
S'exprimant en marge d'une réunion avec la Commission parlementaire iranienne sur la sécurité nationale et la politique étrangère, M. Eslami a observé que les caméras imposées par l'accord de sauvegarde du Traité de non-prolifération avec l'AIEA fonctionnaient, mais que celles relatives à l'accord de 2015 «ne sont plus nécessaires, considérant la non-conformité des autres parties».
M. Eslami a déclaré mercredi aux journalistes qu'une réunion avait été organisée avec le directeur général de l'AIEA, Rafael Grossi, afin de lever toute «ambiguïté» et de «clarifier» ces questions.