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Cette nouvelle journée de mobilisation sera un véritable test pour le gouvernement d'Adel Abdel Mahdi, qui doit souffler sa première bougie à la fin du mois.
Mercredi soir, le leader chiite Moqtada Sadr a appelé ses très nombreux partisans, qui avaient déjà paralysé le pays en 2016 avec des manifestations dans la capitale, à organiser des « sit-ins pacifiques », faisant craindre une explosion de la mobilisation.