Plus de la moitié de ce montant, soit près de 29 milliards de dollars, est attribuée aux dépenses militaires, le reste étant constitué d'indemnisations et d'autres dépenses civiles. Par ailleurs, la banque estime que les recettes fiscales ont diminué de plus de 9 milliards de dollars en raison du conflit.
En raison de la hausse des prix et de la baisse des recettes fiscales, la Banque centrale d'Israël prévoit que la dette publique du pays passera de l'équivalent de 60,5% du PIB l'année dernière à 63% du PIB cette année et atteindra 66% à la fin de l'année prochaine.
En ce qui concerne la croissance économique, le produit intérieur brut (PIB) d'Israël ne devrait augmenter que d'environ 2% cette année et l'année prochaine, ce qui est inférieur aux estimations du mois dernier de 2,3% pour cette année et de 2,8% l'année prochaine.