La mobilisation des cheminots a réduit le nombre de TER à deux sur dix en régions, le trafic des TGV à 25% ou à 30% selon les axes et il n’y a quasiment pas eu de trains Intercités, ni aucun train de nuit, d’après la SNCF. Beaucoup de lignes de métros et de bus n’étaient ouvertes qu’aux heures de pointe avec des fréquences variables.
Le mouvement a touche également la circulation des trains régionaux Transilien et RER. Seul un train sur deux a circulé aux heures de pointe et un train sur trois aux heures creuses sur la partie sud du RER B exploitée par la RATP.
La moitié des enseignants du premier degré et 55% employés de TotalEnergies étaient en grève.