Dans la lettre, les professionnels de la santé affirment qu’il existe une corrélation entre la pollution de l’air et la réceptivité aux virus, affirmant que la pollution affaiblit déjà le corps.
Les signataires demandent aux pays du G20 de se préoccuper davantage de la santé publique, de mettre un terme aux subventions accordées aux combustibles fossiles et de privilégier les énergies renouvelables.