Nick Clegg, directeur mondial des
affaires publiques du géant américain, a promis le lancement «à la fin de mars
de nouveaux outils pour aider à prévenir l'ingérence dans les prochaines
élections et rendre la publicité politique sur Facebook plus transparente».
L'ancien vice-Premier ministre britannique répond ainsi à l'appel à la
mobilisation contre la désinformation, lancé début décembre par la Commission
européenne.
Parmi les géants d'internet,
Facebook est particulièrement sous pression, ayant été la cible de vives
critiques pour ne pas avoir su détecter des campagnes de manipulation de
l'électorat américain lors de la présidentielle de 2016, attribuées à la
Russie.