Les délégués ont noté que de plus en plus de barrières non tarifaires seraient érigées à l’échelle internationale, que les marchés seraient fermés à toute entreprise ne disposant pas de certificat d’origine en bonne et due forme. Les pays importateurs s’intéressent de plus en plus aux chaînes de production respectueuses de l’environnement, ont-ils ajouté.

En effet, depuis 2017, 350 nouvelles barrières techniques ont été érigées à l’encontre des produits agricoles et agroalimentaires. Les délégués ont proposé au gouvernement de veiller à l’information des services compétents et des entreprises. Il convient d’élever les normes de sûreté alimentaire des produits destinés à la consommation domestique au même niveau de celles qui sont appliquées dans les pays importateurs, ont-ils suggéré.