Un navire transportant des céréales ukrainiennes près du port Chornomorsk. Photo : AFP/AVI |
Plusieurs nations avaient unilatéralement interdit l'importation de céréales pour endiguer la saturation de leurs silos et l'effondrement des prix locaux, des restrictions que Bruxelles avait ensuite formellement autorisées puis prolongées jusqu'au 15 septembre.
Soucieux de donner des gages aux pays de l'Est, l'exécutif européen précise qu'en contrepartie, Kiev s'engage à prendre des mesures pour contrôler l'afflux de céréales.