Ainsi, ils occupaient toujours une zone, devant être démilitarisée, après la date-limite prévue pour leur départ par le plan russo-turc.
Selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), aucun retrait visible n’a été constaté avant minuit, malgré l’accord négocié entre Moscou, allié du président Bachar Al-Assad, et Ankara, qui soutient les rebelles. Le sort de l’accord russo-turc, conclu afin d’éviter un assaut des forces gouvernementales contre le dernier bastion insurgé dans la Syrie en guerre, semble de plus en plus fragile.