La loi sur les droits humains et la démocratie à Hongkong complète un texte précédent, datant de 1992. Il en ressort que la Maison Blanche peut suspendre le statut économique spécial accordé à l'ancienne colonie britannique si les droits des manifestants ne sont pas respectés.
La seconde loi interdit la vente à la police hongkongaise de gaz lacrymogène, balles en caoutchouc et autres équipements destinés à réprimer les manifestations.
Donald Trump a également souligné sa volonté de régler les différends par voie amicale, pour la paix et pour la prospérité.