Des militaires à un centre dépistage à Blackburn. Photo: AFP/TTXVN |
Cette souche, identifiée à ce stade chez plus de 1000 patients britanniques, pourrait être impliquée dans la propagation «exponentielle» du virus dans le sud-est de l’Angleterre, sans que l’on sache «dans quelle mesure», selon Matt Hancock.
Par ailleurs, le premier cas connu du nouveau coronavirus chez un animal sauvage a été confirmé lundi 14 décembre, selon le département américain de l'Agriculture. Il s’agit d’un vison sauvage testé dans une ferme de l'Utah.
Aux États-Unis, des épidémies de coronavirus ont été documentées dans 16 élevages de visons de l'Utah, du Wisconsin, de l'Oregon et du Michigan, avec la plupart des cas dans l'Utah. Ce type de contamination avait été observé au Danemark, mais aussi dans d’autres pays européens comme les Pays-Bas ou la Suède. Le mois dernier, le Danemark a mis en place un plan visant à abattre 17 millions de visons élevés dans ses fermes.