Le président de l’Assemblée générale de l’ONU Volkan Bozkir. |
La crise sanitaire a frappé durement les plus pauvres et les plus vulnérables, avec un impact dévastateur sur les personnes âgées, les femmes et les filles, les communautés à faible revenu, les personnes marginalisées et isolées, a-t-il déploré. Il a prévenu qu’un vaccin ne pourrait pas réparer les dégâts qui s’étaleront sur des années, voire des décennies. Dans ce contexte, le chef de l’ONU a invité la communauté internationale à reconstruire le monde en mieux.
L’ONU doit faire preuve de leadership et prendre des mesures concrètes pour relever ce défi, a affirmé le président de l’Assemblée générale de l’ONU Volkan Bozkir. Il convient de reprendre l’accès à l’éducation et aux soins de santé et de mieux protéger l’environnement.