Photo d'illustration
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C’est une étape clef qui permet au virus d’être disponible pour un dépistage rapide au Vietnam, s’est félicité Park Kidong, représentant en chef de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) au Vietnam.
Les recherches sur les possibilités de traitement du virus vont désormais pouvoir commencer. Il s’agira d’abord de vérifier l’efficacité de molécules antivirales connues avant de modifier le virus avec pour objectif de proposer un vaccin. Les chercheurs vont ensuite pouvoir identifier les faiblesses du virus de façon à développer des stratégies thérapeutiques et à mettre au point de nouveaux traitements.